Quand je pense à l’auteur (toujours vivant) du livre de Psychothérapie que je lis et que je tente la connexion, juste pour explorer un possible, en ouverture curiosité douce.
“Enfance ambivalente
Tout était déjà là.
Le décor était posé mais tout s’est révélé petit à petit, avec le temps.
S’il fallait tout refaire, je ne changerais pas une virgule.
Et en même temps, j’ai des regrets, des ‘j’aurais dû” tatoués sur ma peau, que je n’oublie pas. Entre douleur, nostalgie et mémoire de qui j’ai été, de ce que j’ai vécu et de qui je suis et de ce que je choisis.
Rien n’aurait été possible sans elles et sans eux.
Je suis tellement honoré de ce que la vie m’a apporté.
C’est plus beau que ce que j’aurais (pu) espéré depuis mes petits et limités/incultes rêves d’enfant.
On ne sait rien, en apparence, depuis la surface de Soi.
J’aime ce travail d’enquêteur, d’observateur, de non-présence perçue et d’amour infini.
Ma vie est si petite par rapport à eux. Comme un papillon devant un éléphant souffrant.
Une aide comme imperceptible de l’extérieur mais Espoir et Mouvements au-delà.
Je n’avais pas prévu de parler ainsi, avec moi et sans moi.
Comme depuis une autre couche de moi, qui n’est pas celle de cette vie… qui n’est pas celle que j’explore dans cette vie.
Faut-il que ce soit vrai ?
Merci.
…
Oulaa.
En vérité, tu n’as pas Besoin de lire mon livre Sophie.
Parles-en depuis toi. C’est suffisant.
Ce travail que j’ai fait et que je fais n’est pas exactement le tien.
Tu le sais.
Merci »
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