(Attention, c’est un post peu commun pour moi, mais bon, j’ai aussi envie de pouvoir en parler !)
Quand on a dit stop à notre vie d’avant,
Quand on a continué d’avancer sans le soutien de tous nos proches,
Quand on est en train, enfin, de vivre ou de s’approcher tangiblement de ses rêves,
Quand on se donne les moyens de prioriser la satisfaction de nos besoins fondamentaux,
Quand on a tant douté et qu’on doute parfois encore de ses propres choix, sans pour autant rester immobile ou paralysé par la peur,
Quand on s’est promis de dorénavant s’honorer et de se respecter, plutôt que de continuer à se trahir,
…
Bref, 𝗾𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘃𝗶𝗲𝗻𝘁 𝘃𝗿𝗮𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳 𝗮̀ 𝗦𝗼𝗶 𝗲𝘁 𝗮̀ 𝗹’𝗔𝘂𝘁𝗿𝗲,
pour ne plus blesser ou se blesser par la violence des mots prononçables… entre autres.
De ces associations de mots qui deviennent 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝘃𝗲𝗿𝘀𝗼𝗶𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗼𝗽 𝗽𝗹𝗲𝗶𝗻…
De trop plein, bien souvent, de… mer-de.
Ils n’ont pas appris, eux !
Ou du moins, ils leur arrivent encore de s’oublier, d’oublier.
𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗮𝗹𝗲𝗿𝘁𝗲𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿𝗲𝘀 𝘀’𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝗿𝗳𝗼𝗶𝘀 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗶𝗻𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿𝗲,
Alors… ils se font caca dessus.
Et dans leur agitation pour s’en sortir, pour alerter, voire pour s’en extraire, ils nous en projettent dessus,
parfois plein la gueule !
Ça éclabousse et c’est dégueulasse !
Et la question à 1000 points : 𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗮𝗰𝗰𝗲𝗽𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗼𝘂 𝗶𝗻𝗮𝗰𝗰𝗲𝗽𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲 ?
Avec amour,
Sophie Andlauer
𝘾𝙤𝙣𝙨𝙪𝙡𝙩𝙖𝙣𝙩𝙚 𝙚𝙣 𝘾𝙤𝙣𝙨𝙘𝙞𝙚𝙣𝙘𝙚 𝙈𝙪𝙡𝙩𝙞𝙙𝙞𝙢𝙚𝙣𝙨𝙞𝙤𝙣𝙣𝙚𝙡𝙡𝙚
S’apaiser dans toutes ses dimensions
Se réconcilier avec Soi et avec les Autres en multiplans
Se sentir libre d’être Soi Pleinement
